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Articles

Affichage des articles du décembre, 2011

A la Grange-aux-Belles, le QG des compteurs

La façade de l'ancienne usine de compteurs, rue de la Grange-aux-Belles (décembre 2011) Le hall du 28 rue de la Grange-aux-Belles, avec sa verrière    Au 28, rue de la Grange-aux-Belles, franchissez l’immense porte centrale, montez les marches, et faites-vous passer pour un étudiant étranger souhaitant une bourse ou pour un DRH en quête d’aide sur la mobilité internationale. Dans le hall

L'usine électrique de la rue des Dames

La façade du 53, rue des Dames (décembre 2011)    Superbe façade que celle de l’usine électrique située 53, rue des Dames. Tout en haut, un fronton néoclassique décoré de panneaux de céramique brune et précisant la date de construction : "Anno 1890". Juste en dessous, à gauche et à droite, les pilastres sont surmontés d’éclairs sculptés dans la pierre blanche, pous symboliser l’énergie

L’usine fantôme de l’Opéra

La salle des machines à vapeur dans les sous-sols de l'Opéra (Extrait des Merveilles de la science, 1887)     "Il est fâcheux que les caves de l’Opéra ne soient guère visitées par le public", regrettait son architecte Charles Garnier, en vantant "ces immenses arceaux qui se suivent, s’accompagnent ou se rencontrent, ces grandes piles en pierre, ou ces murs robustes qui soutiennent les larges

Une usine dans les sous-sols de la Bourse du commerce

La façade de la Bourse du commerce (décembre 2011) Ancienne halle au blé, devenue Bourse du commerce puis centre de formalités pour les entreprises, le curieux édifice circulaire de la rue de Viarmes, près des Halles, a toujours penché du côté du négoce plus que de celui de la production. Ce temple du commerce est pourtant aussi un lieu de mémoire industrielle. D’abord à cause de la fresque

La SUDAC, un siècle d'air comprimé au bord de la Seine

L'arrière de l'ancienne usine, et le nouveau bâtiment conçu par Frédéric Borel Pour prendre des leçons de construction industrielle, les étudiants de l’école nationale d’architecture Paris-Val de Seine n’ont qu’à lever les yeux de leurs manuels. Depuis avril 2007, ils sont installés dans l’une des usines les plus belles et les mieux conservées de la capitale, celle de la Société Urbaine d’Air