L'Hôtel de Nesmond (octobre 2011) Cette usine, c’est Alphonse Daudet qui en a le mieux saisi la double identité. En 1872, dans l’un des Contes du lundi, l’écrivain dépeint le vénérable Hôtel de Nesmond transformé en fabrique de boissons : "En plein jour, (…) les mots : Caisse, Magasin, Entrée des ateliers éclatent partout en or sur les vieilles murailles, les font vivre, les rajeunissent.